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Depuis Descartes, se pose le problème épistémologique : à quelle connaissance se fier, afin d' atteindre une forme de vérité ?

Freud fondait précisément sa quête de "vérité" des profondeurs de l' âme humaine en fondant toute sa théorie sur le rôle prépondérant de l' inconscient, seule connaissance capable de révéler à l' homme ses faiblesses, sa personalité. Bien plus, Freud allait le déterminer ; c' est l' inconscient, partie inférîeure de l' iceberg, qui est à la source de nos vices et vertus. Un lapsus, un rêve était révélateur et faisaient office de preuve de l' existence d' un inconscient, indépendamment de la conscience, sans aucune contradiction. On pourrait comparer cette vision de la conscience et de l' inconscient comme deux feux clignotants ; l' un rouge, l' autre vert. Lorsque l' un s' allume, l' autre est toujours éteint. Quand nous dormons, l' inconscient travaille pendant que la conscience dort.

 

Que faut-il penser de l' inconscient, puisqu' il apparaît peu évident à conceptualiser ? Quelles caractéristiques essentielles doivent se réunir pour former cet être, ou ce non-être, selon le point de vue où l' on se place ? Est-il cet Etre pour Freud, ou ce non-être pour les ontologistes ?

Nous pourrions nous aider de cette phrase : " L' homme est en puissance de devenir quelque chose ".

Tag(s) : #Philosophie

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